Raffaelien est un créateur de contrastes, un funambule entre l’ombre et la lumière. Chanteur, auteur et compositeur, il construit un univers où la fragilité se fait arme et où la rébellion devient mélodie. Inspiré par l’audace des Club Kids new-yorkais, la flamboyance de David Bowie et l’avant-garde de Klaus Nomi, il sculpte une pop théâtrale, imprégnée de lyrisme et d’énergie brute.

Ses chansons racontent la tension entre l’intime et le spectaculaire, entre l’être humain et le personnage, entre la célébrité et l’anonymat. Avec des textes bilingues, oscillant entre anglais et français, il invite son public dans un voyage où chaque morceau devient un manifeste : un cri de liberté, un miroir de vulnérabilité, une déclaration d’indépendance artistique.

Son univers visuel et sonore s’entrelace avec la mode, le cinéma et l’underground queer. À travers ses performances, Raffaele ne se contente pas de chanter : il incarne ses chansons comme des fragments de vie, des rituels de métamorphose et des actes de résistance.

Plus qu’un musicien, il est un architecte d’émotions, un artisan du spectacle, un poète moderne en quête d’absolu.